Résumé (copie) de la 4ème de couverture :

Perséphone n’est la déesse du printemps qu’en titre. Depuis qu’elle est toute petite, les fleurs se ratatinent  à son contact. Après s’ être installée à  New Athens, elle espérait mener une vie discrète, dans la peau d’une journaliste mortelle. Tout change lorsqu’elle s’assied dans une boîte de nuit clandestine pour jouer une partie de cartes avec un  tranger hypnotique et mystérieux.
Hadès, le dieu des morts, a bâti un empire du jeu dans le monde des mortels et ses paris favoris sont réputés impossibles. Mais rien ne l’a jamais intrigué autant que la déesse qui lui offre une aubaine laquelle il ne peut résister. Après sa rencontre avec Hadès, Perséphone se retrouve liée par un contrat avec le Dieu des morts, et ses conditions sont impossibles : Perséphone doit créer
la vie dans le monde souterrain ou perdre sa liberté à jamais. Le pari ne se limite cependant pas   à exposer l’ échec de Perséphone en tant que déesse. Alors qu’elle s’efforce de semer les graines
de sa liberté , son amour pour le Dieu des ténèbres grandit – un amour à  la fois envoutant et interdit.

Avis : 5/5 : COUP de cœur !!!

Il s’agit ici d’une belle réécriture d’un classique de la mythologie grecque, tournée à la façon contemporaine. L’intrique était super intéressante, qui traite plusieurs sujets en même temps : la relation mère-fille, les premiers sentiments entre vous savez qui… Faisant référence à la mythologie tout en plongeant l’histoire dans une ambiance à la littérature contemporaine. 

Le respect construisait les empires. La confiance les rendait inébranlables. L’amour pouvait les rendre éternels.

Du côté des personnages, gros coup de cœur ! Tous les personnages, sans exception, m’ont tous plu, de Menthé l’assistante d’Hadès à Adonis, un homme un peu trop sûr de lui. Bien sûr les deux personnages principaux étaient super. D’Hadès énigmatique à la personnalité généreuse de Perséphone, un contact « électrique » passe entre eux. Peut-être un peu trop de personnages avec des noms improbable. Je m’emmêlais un peu les pinceaux, mais c’était de ma faute.

Tandis qu’elle plongeait dans ses yeux, elle eut l’impression qu’il pouvait voir en elle; pas son Charme ni même sa peau ou ses os, mais son cœur, au plus profond de son être, et cela la fit frissonner.

L’auteure écrit bien sûr très bien. Une plume qui m’a transportée dans toute l’histoire ! Petit bémol cependant, le livre est rédigé à la 3ème personne, ce qui provoque quelques petites confusions lorsque d’autres personnages font leur entrée.

Le dieu des Morts représentait tout ce qu’elle n’était pas : les ténèbres et la tentation.

Une pure pépiteeeeeeee ! A lire absolument.